Paroles de ' Sad World ' par Philip Shibata

Sad World est une chanson de Philip Shibata dont les paroles ont été innombrablement recherchées, c'est pourquoi nous avons décidé qu'elle méritait sa place sur ce site web, avec beaucoup d'autres paroles de chansons que les internautes souhaitent connaître.

Vous adorez la chanson Sad World ? Vous ne comprenez pas tout à fait ce qu'elle dit ? Besoin des paroles de Sad World de Philip Shibata ? Vous êtes au lieu qui a les réponses à vos désirs.

Flickering neon
You mock the Moon and the stars in the night
Hopeless glow, of the blue
You stop the thought of death for a night

Oh-oh-oh, o-oh-oh
Oh-oh-oh, o-oh-oh (just for a night)
Oh-oh-oh, o-oh-oh
Oh-oh-oh, o-oh-oh

It's a sad, sad world
If I can’t have You
It's a sad, sad world
If I can’t have You anymore

Light your palm, see your mirror
Go on and let those likes wipe your tears
Fingers slow, one more show
Endless repeats, to escape these defeats

Oh-oh-oh, o-oh-oh
Oh-oh-oh, o-oh-oh (escape these defeats)
Oh-oh-oh, o-oh-oh
Oh-oh-oh, o-oh-oh

It's a sad, sad world
If I can’t have You
Its a sad, sad world
If I can’t have You anymore

[Earlybird]
Lead me to play
In Your light, every day
Here, now, here and now
Here by Your grace
Every moment displayed
Glory, how?
Yet surrounded, safe and sound
Lord, have Your way
In this world gone astray

Savoir ce que disent les paroles de Sad World nous permet de mettre plus de sentiment dans l'interprétation.

Une raison très courante de rechercher les paroles de Sad World est le fait de vouloir bien les connaître parce qu'elles nous font penser à une personne ou une situation spéciale.

Ce qui arrive plus souvent que nous le pensons est que les gens recherchent les paroles de Sad World parce qu'il y a un mot dans la chanson qu'ils ne comprennent pas bien et veulent s'assurer de ce qu'il dit.

Rappelez-vous que lorsque vous avez besoin de connaître les paroles d'une chanson, vous pouvez toujours compter sur nous, comme cela vient de se produire avec les paroles de la chanson Sad World de Philip Shibata.