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La Wehrmacht (prononcé en allemand : [ˈveːɐ̯maxt], littéralement « force de défense ») est le nom porté par l'armée du IIIe Reich à partir du 21 mai 1935 et jusqu'à sa dissolution officielle en août 1946,,, par les forces d'occupation de l'Allemagne vaincue. En 1935, la Wehrmacht est issue de la Reichswehr, l'Armée allemande de l'époque, en principe toujours encadrée par le traité de Versailles de 1919 qui limite les effectifs, les matériels et interdit une force aérienne ; mais ce n'est plus le cas dans les faits. Dès sa création, la Wehrmacht comporte trois armées : l'Armée de terre ou Heer ; la Marine de guerre ou Kriegsmarine ; l'Armée de l'air ou Luftwaffe. Le renseignement militaire est assuré par l'Abwehr. Les premières années, la Wehrmacht a pour commandant en chef (Oberbefehlshaber der Wehrmacht) le général, puis maréchal, Werner von Blomberg, lequel a aussi le nouveau titre de ministre de la Guerre (Reichskriegsminister). Mais en janvier 1938, il est destitué par Adolf Hitler qui assure ensuite seul le commandement en chef des forces armées du Reich. Après le suicide d'Hitler, c'est le Großadmiral Dönitz qui devient pendant trois semaines le commandant nominal de la Wehrmacht, dans le cadre du gouvernement de Flensbourg au cours du mois de mai 1945. La Wehrmacht possède un Grand État-Major : l'Oberkommando der Wehrmacht (OKW), créé en février 1938, en remplacement du ministère de la Guerre (Reichskriegsministerium), à la faveur de l'affaire Blomberg-Fritsch. Issue du réarmement secret et illégal de l'Allemagne commencé dès les années 1920, la Wehrmacht apporte de nombreuses innovations tactiques, notamment dans l'emploi combiné des chars d'assaut et de l'aviation, conçu par le général Heinz Guderian. Aidée par l'industrie militaire et le savoir-faire allemands, la Wehrmacht revient rapidement au premier plan militaire. La Marine de guerre conçoit le plan Z pour construire une grande flotte. La Luftwaffe, dirigée par le Generalfeldmarschall Göring, connaît également un important développement durant les années précédant la guerre. Après avoir perfectionné ses tactiques lors de la guerre civile espagnole et avoir occupé — sans nécessité de combattre — l'Autriche (mars 1938), la région des Sudètes (octobre 1938) puis une grande partie de la Tchécoslovaquie (mars 1939), l'Armée allemande déclenche la Seconde Guerre mondiale et en devient un des principaux acteurs : après une première victoire en Pologne en 1939 avec la complicité de l'Union soviétique, la Wehrmacht bat les armées française, britannique et belge en mai et juin 1940. Au printemps 1941, elle est contrainte d'aider l'armée italienne en difficulté en Yougoslavie et en Grèce. Un mois plus tard, elle se retourne contre son alliée de 1939 en entrant à fin juin 1941 en Union soviétique : c'est l'opération Barbarossa. Le tournant arrive avec la seconde bataille d'El Alamein en 1942 et l'échec devant Stalingrad au début de 1943. Par la suite, la Wehrmacht perd le contrôle de l'Afrique du Nord et de la Sicile, puis doit battre en retraite sur le vaste territoire de l'Union soviétique après la bataille de Koursk de l’été 1943. Le débarquement allié en Normandie qui débute à la fin du printemps 1944 et la bataille des Ardennes de l’hiver 1944-1945 marquent sa défaite à l'ouest. À l'est, la destruction du groupe d'armées Centre lors de l'opération Bagration, à l'été 1944, constitue la pire défaite qu'ait connue la Wehrmacht, qui n'est dès lors plus capable d'opérations de grande ampleur face à l'Armée rouge. La bataille de Berlin au printemps 1945 marque la chute définitive de l'Allemagne nazie. Durant cette dernière phase de la guerre, tous les moyens ont été mis en œuvre pour tenter de retourner la situation avec notamment l'enrôlement, en plus des étrangers, des adolescents et des personnes âgées (Volkssturm, ou littéralement "tempête du peuple", sous la responsabilité de Goebbels). La propagande avec notamment l'espoir de la découverte d'une arme miracle, une « Wunderwaffe », tente de maintenir en parallèle le moral de la population civile durant cette phase difficile. La résistance des soldats allemands sur le front de l'Est, malgré les défaites catastrophiques de l'année 1944, s'explique aussi bien par la terreur nazie que par la connaissance des atrocités commises sur ce front, qui laissait craindre les représailles de l'Armée rouge. Après la Seconde Guerre mondiale, les anciens militaires - en particulier les officiers - allemands ont diffusé la mémoire d'une armée "aux mains propres", affirmant qu'elle n'aurait pas participé aux crimes du IIIe Reich. L'historien Christian Ingrao parle même d'un "non-lieu collectif" dans la mémoire allemande. Les travaux d'historiens de plus en plus nombreux, les changements générationnels et l'ouverture des archives depuis les années 1980 ont progressivement souligné l'inanité de cette thèse. La Wehrmacht a pris en réalité une part importante dans le processus d'extermination des Juifs et des Tziganes, ainsi que dans la campagne d'annihilation des Slaves, menés par le régime nazi, principalement en Europe centrale et orientale. La mise sur écoute (secrète) des conversations entre officiers allemands prisonniers à Trent Park, en Grande-Bretagne, montrait non seulement que ceux-ci étaient au courant des atrocités nazies, mais que beaucoup y avaient directement participé. Ce point avait été souligné lors du procès de Nuremberg, avant d'être relativement passé sous silence à l'Ouest durant la guerre froide. Plus généralement, la Wehrmacht joua un rôle déterminant, aux côtés de la SS, et souvent sans elle, dans les exactions commises dans les territoires occupés. La redécouverte de cette réalité a mené, selon l'historien Hannes Heer, à un profond changement dans l'opinion allemande à partir des années 1990 - d'autant que les anciens soldats de la Wehrmacht disparaissaient. Enfin, des membres de l'armée ont joué un rôle important dans la résistance au nazisme avec notamment l'organisation et l'exécution de l'attentat contre Hitler du 20 juillet 1944 qui a échoué de peu. La Wehrmacht dispose pendant la Seconde Guerre mondiale d'une solide réputation d'efficacité au combat. À l'apogée de l'expansion du Troisième Reich, elle occupe la quasi-totalité de l'Europe continentale : seuls quelques pays neutres et une partie de la Russie européenne sont épargnés. C'est la plus grande armée de l'histoire allemande.
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