Paroles de 'La Grande Reine' par Vitaa

Ça commence par un nom qui
Vient te manquer, une absence un regard
Rien en particulier, un prénom dans
Une phrase, un vide à combler,
Est-ce un signe ou présage que
Le sort à consommer, puis c'est

Le nom de mon frère qu'elle a mélangé
Avec celui de mon père dimanche dernier,
On oublie, on fait comme-ci c'était
La première fois, puis c'est en psy
Qu'on ira la chercher

Si ce miroir était en train de flancher
Si j'aurais su moi qu'on se ressemblait,
Ces moindres détails qu'elle a oublié
Je veux qu'elle sache qu'on n'oubliera jamais,
La reine qu'elle a été, sera à jamais
Dans nos coeurs,elle siège, même si

Désormais son regard est vide, le bleu
De ses yeux, me rappelle les voyages
Qu'elle nous racontait, sa maison
Est vide sans sa voix, ses secrets,
Ses refrains, ses recettes, qu'elle
Seule, nous confiait,
Personne ne mérite, d'oublier qui
Il est, ce chant ouvre les yeux qui souffrent

La grande reine a oublié,on oubliera
Jamais, la grande reine qu'elle a été
On n'oubliera jamais
Grande reine, grand-mère de 8 petits-enfants
Mère de 4, et reine d'un homme,
Tu lui as dévoué ta vie, tu l'as construit
Il t'a offert son trône, il t'a nobli

Votre amour est un autre monde
Si pur, si fort, je le recherche encore,
Mais le vois pas tout l'temps
Ces gestes, pour toi,
Il siège à tes côtés, il t'aime si fort
Pour moi, je sais combien il souffre
Quand toi tu le n'le reconnais pas

Si ce miroir était en train de flancher
Si j'aurais su moi qu'on se ressemblait,
Ces moindres détails qu'elle a oublié
Je veux qu'elle sache qu'on n'l'oubliera jamais,
La reine qu'elle a été, sera à jamais
Dans nos coeurs,elle siège, même si,
Désormais son regard est vide, le bleu

De ses yeux, me rappelle les voyages
Qu'elle nous racontait, sa maison
Est vide sans sa voix, ses secrets,
Ses refrains, ses recettes, qu'elle seule, nous confiait,
Personne ne mérite, d'oublier qui il est
Ce chant ouvre les yeux qui souffrent,
La grande reine a oublié,on oubliera
Jamais, la grande reine qu'elle a été
On n'oubliera jamais

Éloignez-nous de ce mal, qui la ronge
À coeur, à sang, à cran, à tort
On n'oubliera jamais
La reine qu'elle a été
La reine que tu étais, sera
À jamais, dans mon coeur, tu sièges,
Même si désormais, ton regard

N'est plus, le bleu de tes yeux
Me rappelle les voyages que tu racontais,
Ta maison est vide, sans ta voix, tes secrets, tes refrains,
Que tu nous chantais, personne ne mérite d'oublier qui il est,
Ce chant pour toi et ceux qui souffrent, on n'oubliera jamais