Paroles de 'Tem Bicha No Salão' par Thomas Rodrigues

Si vous avez longtemps cherché les paroles de la chanson Tem Bicha No Salão de Thomas Rodrigues, commencez à échauffer votre voix, car vous ne pourrez pas arrêter de la chanter.

Vous adorez la chanson Tem Bicha No Salão ? Vous ne comprenez pas tout à fait ce qu'elle dit ? Besoin des paroles de Tem Bicha No Salão de Thomas Rodrigues ? Vous êtes au lieu qui a les réponses à vos désirs.

Eu fui um baile na fazenda do patrão
Tinha tanta coisa boa, mais baita confusão

Vi uma morena que me chamou atenção
Tirei ela pra dançar e era um baita de um machão

Naquela hora quase eu cai de costa
Ouvi aquela voz grossa de medo quase morri
Sai correndo e falei para o patrão
Mande parar esse baile que tem bicha no salão

( Refrão )
Tem bicha no salão, tem bicha no salão
Pare o baile sanfoneiro, que tem bicha no salão
Tem bicha no salão, tem bicha no salão
Pare o baile sanfoneiro, que é pra não ter confusão

Savoir ce que disent les paroles de Tem Bicha No Salão nous permet de mettre plus de sentiment dans l'interprétation.

Ce qui arrive plus souvent que nous le pensons est que les gens recherchent les paroles de Tem Bicha No Salão parce qu'il y a un mot dans la chanson qu'ils ne comprennent pas bien et veulent s'assurer de ce qu'il dit.

Vous vous disputez avec votre partenaire parce que vous comprenez des choses différentes en écoutant Tem Bicha No Salão ? Avoir sous la main les paroles de la chanson Tem Bicha No Salão de Thomas Rodrigues peut régler de nombreux différends, et nous l'espérons ainsi.

Il est important de noter que Thomas Rodrigues, lors des concerts en direct, n'a pas toujours été ou ne sera pas toujours fidèle aux paroles de la chanson Tem Bicha No Salão... Il est donc préférable de se concentrer sur ce que dit la chanson Tem Bicha No Salão sur le disque.

Rappelez-vous que lorsque vous avez besoin de connaître les paroles d'une chanson, vous pouvez toujours compter sur nous, comme cela vient de se produire avec les paroles de la chanson Tem Bicha No Salão de Thomas Rodrigues.