Paroles de Chansons de Sílvio Romero

Nous avons compilé toutes les paroles des chansons de Sílvio Romero que nous avons pu trouver pour que ceux qui, comme toi, cherchent des chansons de Sílvio Romero, les trouvent regroupées en un seul endroit.

Vois-tu la chanson que tu aimes dans cette liste de chansons de Sílvio Romero ?

  1. Glorifique o Salvador
  2. Pedras lapidadas
  3. Transbordando de Fé

Sílvio Vasconcelos da Silveira Ramos Romero (Lagarto, 1851 — Rio de Janeiro, 1914) était un avocat, juriste, juge, journaliste, critique littéraire, essayiste, poète, écrivain, historien, philosophe, politologue, sociologue, professeur et homme politique brésilien. Formé à la faculté de droit de Recife, il mena d’une part une carrière de juge et eut d’autre part un parcours d’enseignant, exerçant comme professeur de droit et de philosophie dans des établissements secondaires et à l’université. Il s’engagea par ailleurs dans la politique, tant à l’échelon de son État natal, le Sergipe, qu’au niveau national, et réussit à se faire élire député fédéral en 1898. Parallèlement, tout en faisant des incursions dans le journalisme, il faisait paraître un grand nombre de livres, d’articles et d’opuscules traitant d’histoire littéraire, d’ethnologie et de sociologie, à côté de plusieurs ouvrages savants dans le domaine du droit. Ses recueils de poésie, au nombre de deux, ne feront pas date. On lui doit en outre plusieurs collections de contes populaires, fruits de son étude approfondie du folklore de son pays. Moins pertinent comme critique littéraire et historien de la littérature, car partial et peu pondéré, Silvio Romero fait figure en revanche d’observateur pointu du Brésil et de sa réalité sociale, et fut un historien de la culture d’une grande pertinence. La critique littéraire était pour lui prétexte à penser et théoriser le Brésil. Aussi son maître-livre, sa monumentale História da literatura brasileira (1888, multiples rééditions), apparaît-il avant tout comme un traité de sociologie de la culture brésilienne, dans lequel son auteur ne se proposait pas tant à présenter la littérature en elle-même et ses insaisissables subtilités, qu’à élaborer une herméneutique du Brésil, reflétant ainsi l’obsession de Romero d’expliquer le Brésil et d’en construire une théorie totalisante, à travers une interprétation, systématique et concomitante, de la littérature (prise ici dans un sens très large, englobant tous les écrits didactiques possibles) et de la société brésiliennes ; les essayistes, tels José Veríssimo, qui s’en tenaient « au critère purement esthétique », seront rudement rabroués par l’auteur, qui savait à l’occasion se montrer un virulent polémiste. Imprégné des aprioris scientistes en vogue dans la seconde moitié du XIXe siècle, tant au Brésil qu’en Europe, et influencé en particulier par Herbert Spencer et Frédéric Le Play, Romero privilégia les approches expressément scientifiques et objectivistes pour appréhender la réalité brésilienne, non seulement la littérature, mais le pays dans sa totalité — optique qui du reste sous-tend aussi ses autres ouvrages, avec toujours cette antinomie sous-jacente entre prétentions scientifiques d’un côté, et de l’autre la volonté de saisir les singularités historiques intimes d’une société ibéro-américaine héritée du colonialisme ; la gageure de Romero fut de mettre l’universalité de la science au service d’une exploration de l’essence singulière et unique du Brésil. L’appréhension intellectuelle de cet essentialisme national, que Romero postulait être ancré dans le peuple, ne pouvait selon l’auteur s’effectuer qu’au moyen d’instruments scientifiques positifs. Ce qui aux yeux de Romero donnait corps et substance au caractère national brésilien était le métis ; le métissage est l’essence même de la nationalité brésilienne, et apparaît comme seul apte à en neutraliser les possibles ferments de désagrégation (telle que l’idée fédéraliste). Le métissage, idéal de l’identité nationale brésilienne, concept où viennent s’amalgamer déterminants raciaux et éléments d’autres sphères (psychologique, sociologique, culturel, mais aussi politique), est vu comme une force biologique capable de consolider l’unité nationale.

Il arrive souvent que lorsque tu aimes une chanson d'un groupe ou d'un artiste en particulier, tu aimes aussi d'autres de leurs chansons. Donc, si tu aimes une chanson de Sílvio Romero, il est probable que tu aimes beaucoup d'autres chansons de Sílvio Romero.

Les paroles des chansons de Sílvio Romero suivent souvent certains motifs que tu peux découvrir en y prêtant attention. Es-tu prêt à voir lesquels ?

Pour découvrir les motifs des chansons de Sílvio Romero, il te suffit de lire attentivement les paroles de leurs chansons, et de faire attention non seulement à ce qu'elles disent, mais aussi à la façon dont elles sont construites.

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