Paroles de 'L'ennemi Feat Sana' par Sefyu

Oh! Déja 8h, sa mère, il caille, la préfecture, il m'recale, j'taille.

Ce ptit problème alimentaire, je tourne au sky.

Moi, je fais pas la queue, la queue, c'est pour les tain-pu, caille.

Rat de bite, j'tourne au rail de coke,

Depuis que j'ai arreté la scoke, j'ai l'air moins con sbite squizo.

J'ai les nerfs qui montent plus vite.

Pour rien, je monte en l'air, histoire de '' Monsieur Je Sais Tout ''.

Au square, les voisins ne tolèrent plus le story taulard.

Mes frères purgent tellement de piges qu'ils peuvent finir avocat. La taule, j'en parle au gars et rêve qu'elle finance mon vécu. Mon vécu, crouille, des trous dans un casse croute au mic mac.

Nos macaques à s'arracher les croûtes. Brouter l'herbe de ma fouffe.

Nique, mais qu'est ce qu'il m'regarde de travers, c'est pas normal donc j'l'a fais à l'envers. J'arrache les sacs aux bras comme un fauve, glorifie le mal comme un faux man. Pas serieux comme une nymphomane.

[Refrain]

La vie ne fait pas de cadeaux, trouve les mots, même si t'es pas d'accord avec leurs idéaux.

Il faut maîtiser tes pulsions, tes visions.

Ne te fais pas mener en bâteau.

La vie ne fait pas de cadeaux, trouve les mots, même si t'es pas d'accord avec leurs idéaux.

Essaie de combattre l'égo, ton égo.

Y'a trop de violence avant réflexion.

Oh! Dit moi, c'est d'la faute à qui, ici, dans ton esprit, c'est la guerre. Tes nerfs te taquinent.

Le monde dans les yeux vert kaki. C'est jamais toi, alors c'est qui parce que je sais qu'à la préfecture, tu décides de te fonce-dé au sky.

Et là, c'est qui, c'est toujours pas l'Etat quand y'a perquise. Quand on trouble l'intimité, on fait du mal à ceux qu'on kiffe, si.

Amalgame, crouille, chair, tu sers le shit du même couteau que ta mère utilise pour couper le cachère.

On couille dans l'alcool, tu colles à cause des soucis. 6h du mat', t'agresses le daron par le col, et là, c'est qui, hein, c'est qui, c'est pas toi ????

Forniquer le cul de son frère par le cul de la boîte à ????. Décrocher les parenthèses, t'implores la guerre, ton salaire, c'est la peur, le crime en prime, que d'essai, je sais.

Que la paix a déçu, c'est beaucoup pauvre mais la remise en cause des hommes n'est pas ta cause.

[Refrain]

Oh! Contre qui aurais-je la rage, la hargne, ????

je porte la haine à personne. Le premier ennemi de l'homme, c'est l'homme.

Pour qui aurais-je de la peine, c'est trash, celui qui pose de la taule ou qui purge une peine en taule. Sa vie, un arraché de page.

Quand t'escalades le destin, t'en as plus dans la tête d'un autre, le miroir de l'hyprocrite qui balance tout aux autres.

????, le sida s'est investit, j'sais pas c'est qui, peut être la faute du travesti, crouille.

J'ai résisté, j'ai traqué, j'ai su resté sûr.

Tu me dirais que la vie est vache quand t'attaches pas ta ceinture. Laissant un innocent, un peu de sang, c'est la paralèlle, philosophie, des creuvards d'essence.

On fait la guerre, en sachant que l'accord de paix est au bout du stylo de cet homme ayant déclaré la guerre, tuant des mômes.

Le mime est un meutre, ne parle qu'avec les mains, l'ennemi vient de l'intérieur, réflechi avant de serrer les poings.

[Refrain x2]

Avant réflexion. L'ennemi vient de l'intérieur. L'homme est un loup pour l'homme. Le premier ennemi de l'homme, c'est l'homme. Avant de changer de monde, commence par changer la personne qu'y a dans ton miroir.