Paroles de 'Camarim' par Raphael Rabello

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No camarim as rosas vão murchando
E o contra-regra dá o último sinal
As luzes da platéia vão se amortecendo
E a orquestra ataca o acorde inicial
No camarim nem sempre há euforia
Artista de mim mesmo nem posso fracassar
Releio os bilhetes pregados no espelho
Me pedem que jamais eu deixe de cantar

Caminho lentamente e entro em contra-luz
E a garganta acende um verso sedutor
O corpo se agita e chove pelos olhos
E um aplauso escorre em cada refletor
Pisando esta ribalta, cantando pra vocês
De nada sinto falta, sou eu mais uma vez
As rosas vão murchar, mas outras nascerão
Cigarras sempre cantam, seja ou não verão

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