Vous voulez connaître les paroles de Próprio Pão de Márcio Moreira ? Vous êtes au bon endroit.
Sur notre site web, nous avons les paroles complètes de la chanson Próprio Pão que vous recherchiez.
Um gesto um tanto quanto incomum
É ver um cidadão dar a mão
Ao próprio coração
Tornar de si o seu próprio irmão
Trocar a culpa pela compaixão
Ser a luz que busca na escuridão
Dissipar a ilusão da solidão
Dar-se a chance de obter o perdão do seu ser
Deixar de tanto não, largar senão e se largar no vão
Num breve momento estar salvo e são
Longe do alvo, perto da mão
E aqui eu faço essa canção
E envio no vento, a quem precisa ser o próprio alento
O próprio pão
Quand on aime vraiment une chanson, comme cela pourrait être votre cas avec Próprio Pão de Márcio Moreira, on souhaite pouvoir la chanter en connaissant bien les paroles.
Sentez-vous comme une star en chantant la chanson Próprio Pão de Márcio Moreira, même si votre public n'est que vos deux chats.
Une raison très courante de rechercher les paroles de Próprio Pão est le fait de vouloir bien les connaître parce qu'elles nous font penser à une personne ou une situation spéciale.
Vous vous disputez avec votre partenaire parce que vous comprenez des choses différentes en écoutant Próprio Pão ? Avoir sous la main les paroles de la chanson Próprio Pão de Márcio Moreira peut régler de nombreux différends, et nous l'espérons ainsi.
Il est important de noter que Márcio Moreira, lors des concerts en direct, n'a pas toujours été ou ne sera pas toujours fidèle aux paroles de la chanson Próprio Pão... Il est donc préférable de se concentrer sur ce que dit la chanson Próprio Pão sur le disque.
Apprenez les paroles des chansons que vous aimez, comme Próprio Pão de Márcio Moreira, que ce soit pour les chanter sous la douche, faire vos propres covers, les dédier à quelqu'un ou gagner un pari.
Rappelez-vous que lorsque vous avez besoin de connaître les paroles d'une chanson, vous pouvez toujours compter sur nous, comme cela vient de se produire avec les paroles de la chanson Próprio Pão de Márcio Moreira.