Volta pra Deus est une chanson de Gerson Borges dont les paroles ont été innombrablement recherchées, c'est pourquoi nous avons décidé qu'elle méritait sa place sur ce site web, avec beaucoup d'autres paroles de chansons que les internautes souhaitent connaître.
Vous adorez la chanson Volta pra Deus ? Vous ne comprenez pas tout à fait ce qu'elle dit ? Besoin des paroles de Volta pra Deus de Gerson Borges ? Vous êtes au lieu qui a les réponses à vos désirs.
Se o meu coração, incircunciso coração, se quebrar
e eu voltar pra Deus tão quebrantado,
não tenha nem palavras,
se eu recomeçar a andar com Jesus,
ouvir sua voz, seguir a Jesus,
cada dia é um novo tempo
e oportunidade de voltar
pra Deus.
Se o meu coração, incircunciso coração, se humilhar,
na verdade, é Deus me convencendo
da miséria do pecado.
Se eu abandonar a velha ilusão
de nunca escutar o meu coração,
cada dia é um novo tempo
e oportunidade de voltar
pra Deus
Volto pra Deus sempre que vejo
o tamanho dessa mentira:
imaginar a possibilidade de não depender de Deus.
Volto pra Deus e esqueço o cansaço
no abraço que não se esvai.
Volto pra Deus cada vez que eu oro
e então chamo, chamo,
chamo, chamo Deus de Pai!
Otras canciones de Gerson Borges
La raison la plus courante de vouloir connaître les paroles de Volta pra Deus est que vous l'aimez beaucoup. Évident, n'est-ce pas ?
Quand on aime vraiment une chanson, comme cela pourrait être votre cas avec Volta pra Deus de Gerson Borges, on souhaite pouvoir la chanter en connaissant bien les paroles.
Savoir ce que disent les paroles de Volta pra Deus nous permet de mettre plus de sentiment dans l'interprétation.
Apprenez les paroles des chansons que vous aimez, comme Volta pra Deus de Gerson Borges, que ce soit pour les chanter sous la douche, faire vos propres covers, les dédier à quelqu'un ou gagner un pari.
Rappelez-vous que lorsque vous avez besoin de connaître les paroles d'une chanson, vous pouvez toujours compter sur nous, comme cela vient de se produire avec les paroles de la chanson Volta pra Deus de Gerson Borges.