Paroles de ' Matutina ' par Fernando Delgadillo

Sur notre site web, nous avons les paroles complètes de la chanson Matutina que vous recherchiez.

Oigo, como llama una
campana que a esta de
la mañana ya se fija en él
reloj oigo al viento que sopla
ligero y oigo el estruendoso
vuelo pasajero de un avión.

Oigo como pasa la vecina
que canta mientras camina
y a lo lejos un motor.
Con el que imaginó una
ventana que creció junto a
mi cama cuando el sueño
me venció.

Oigo un perro ladrando
distante y revoloteos
constantes de unos pájaros
que están siempre dispután-
dose las ramas como todas
las mañanas y anunciando
que se irán.

Oigo y lo que oigo me
rodea.
y oigo junto a mí la idea
de que tengo que salir
a ser parte de esta algarabía
que al menos por este día
todavía se deja oír.

Oigo un sin fin de ruidos
urbanos que quizás por
cotidianos nunca llaman mi
atención oigo todo lo que
siempre he oído y en la
almohada oigo el latido
de mi propio corazón.

Quand on aime vraiment une chanson, comme cela pourrait être votre cas avec Matutina de Fernando Delgadillo, on souhaite pouvoir la chanter en connaissant bien les paroles.

Savoir ce que disent les paroles de Matutina nous permet de mettre plus de sentiment dans l'interprétation.

Une raison très courante de rechercher les paroles de Matutina est le fait de vouloir bien les connaître parce qu'elles nous font penser à une personne ou une situation spéciale.

Dans le cas où votre recherche des paroles de la chanson Matutina de Fernando Delgadillo est parce qu'elle vous fait penser à quelqu'un en particulier, nous vous proposons de la lui dédier d'une manière ou d'une autre, par exemple en lui envoyant le lien de ce site web, il comprendra sûrement l'allusion.

Sur cette page, vous avez à votre disposition des centaines de paroles de chansons, comme Matutina de Fernando Delgadillo.

Rappelez-vous que lorsque vous avez besoin de connaître les paroles d'une chanson, vous pouvez toujours compter sur nous, comme cela vient de se produire avec les paroles de la chanson Matutina de Fernando Delgadillo.