Paroles de 'Catarina' par Carlos Gonzaga

Vous voulez connaître les paroles de Catarina de Carlos Gonzaga ? Vous êtes au bon endroit.

Si vous avez longtemps cherché les paroles de la chanson Catarina de Carlos Gonzaga, commencez à échauffer votre voix, car vous ne pourrez pas arrêter de la chanter.

Catarina, ha ha ha
Porque tu estas sempre a brincar
Com meu grande amor
Catarina, ho ho ho

Ama a mim, só a mim
Porque só amo a ti, só a ti
Catarina, ha ha ha

Eu só quero fazer-te feliz
Ò meu doce amor
Só teus beijos são só pra mim
Os meus beijos são só pra ti

Sim, sim, sim, só pra ti Catarina

Il existe de nombreuses raisons de vouloir connaître les paroles de Catarina de Carlos Gonzaga.

La raison la plus courante de vouloir connaître les paroles de Catarina est que vous l'aimez beaucoup. Évident, n'est-ce pas ?

Quand on aime vraiment une chanson, comme cela pourrait être votre cas avec Catarina de Carlos Gonzaga, on souhaite pouvoir la chanter en connaissant bien les paroles.

Sentez-vous comme une star en chantant la chanson Catarina de Carlos Gonzaga, même si votre public n'est que vos deux chats.

Une raison très courante de rechercher les paroles de Catarina est le fait de vouloir bien les connaître parce qu'elles nous font penser à une personne ou une situation spéciale.

Ce qui arrive plus souvent que nous le pensons est que les gens recherchent les paroles de Catarina parce qu'il y a un mot dans la chanson qu'ils ne comprennent pas bien et veulent s'assurer de ce qu'il dit.

Il est important de noter que Carlos Gonzaga, lors des concerts en direct, n'a pas toujours été ou ne sera pas toujours fidèle aux paroles de la chanson Catarina... Il est donc préférable de se concentrer sur ce que dit la chanson Catarina sur le disque.

Nous espérons vous avoir aidé avec les paroles de la chanson Catarina de Carlos Gonzaga.

Rappelez-vous que lorsque vous avez besoin de connaître les paroles d'une chanson, vous pouvez toujours compter sur nous, comme cela vient de se produire avec les paroles de la chanson Catarina de Carlos Gonzaga.